CHASSE : DES PROPOS INTENABLES !

02-05-2012 à 20:35:12
LA CHASSE DOIT CHANGER, LES CADRES DE LA CHASSE AUSSI :

Ici, sur Ariège news les propos inacceptable du président de la fédé de chasse de l'Ariège qui dit une chose inadmissible en 2012 et qui marque hélas le caractère égoïste du comportement d'un certain milieu de la chasse en France :
http://www.ariegenews.com/ariege/agriculture_environnement/2012/47006/l-ours-s-invite-a-l-assemblee-generale-des-chasseurs-de-l-ariege.html
Citation :

"Pour nous, il est absolument exclu que la chasse subisse la moindre contrainte pour cause de présence de l’ours. (Jean-Luc Fernandez, président de la fédération de chasse de l'Ariège lors de son assemblée générale le samedi 28 avril 2012, propos repris dans Ariège-News le 30 avril 2012)"

Qui est intolérantr ? Qui décrète la non-cohabitation ? Qui refuse de faire le moindre effort ?
Les propos de M. Fernandez ne sont plus tenables.
Chacun est témoin qu'en 2012, un certain monde de la chasse est RESPONSABLE et COUPABLE du refus de l'ours des Pyrénées.
"Une forêt sans ours n'est pas une vraie forêt."
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05-05-2012 à 18:03:32
La chasse, pratique ancestrale que ses adeptes actuels, ne sont pas près d'abandonner.
Symbole du pouvoir de domination supprème (le droit de vie ou de mort sur un être vivant), qui n'existe plus que dans ce "sport" d'un autre temps.
Il est comparable aux gladiateurs romains (esclaves) qui s'affrontaient pour obtenir leur émancipation, la reconnaissance et donc le respect de tous.
Le chasseur était jadis, celui qui nourrissait sa famille, cette activité était vital et il n'en tirait aucune gloire.
C'est beaucoups plus tard, quand son courage et son adresse ont été reconnu par tous, que le chasseur a commencé à en tirer un certain plaisir.
Le plus grave c'est qu'aujourd'hui, cette reconnaissance est toujours, d'une manière différente certe, appréciée par le chasseur qui se sent fier de présenter son trophé ou son tableau de chasse, à qui veut bien l'apprécier.
C'est peut être, pour certains d'entre eux, la seule façon d'exister dans cette société si cruelle, ou l'individu n'a aucune importance s'il n'est pas hors norme...

La nature sans les grands prédateurs n'est pas naturelle !!!


Didier 28
12-05-2012 à 18:10:02
Pour moi le plus intolérable n'est pas qu'il y est des cons dans la nature, mais qu'ils puissent avoir quand bon leur semble une pleine page dans la presse sans contradicteurs en face.
Tant que les opposants à ces gens la n'auront pas le droit de parler ou de s'arrangeront pas pour le prendre il sera toujours facil pour les dirigeants de
dire que le climat "n'est pas propice".

"L'ours qui t'attrape est celui que tu ne vois pas"
26-05-2012 à 12:16:39
Les associations recadrent le président de la fédé de chasse de l'Ariège qui se répand en mensonges :
http://www.ferus.fr/actualite/ours-et-chasse-ferus-et-cea-retablissent-quelques-verites
A savoir et à diffuser !

"Une forêt sans ours n'est pas une vraie forêt."
12-10-2012 à 10:19:30
Vous écrivez :
Pour moi le plus intolérable n'est pas qu'il y est des cons dans la nature, mais qu'ils puissent avoir quand bon leur semble une pleine page dans la presse sans contradicteurs en face.

Vous vouliez parler des écolos ? Alors je suis d'accord !
12-10-2012 à 12:12:28
Le président de la fédé de l'ariège est hélas ! peu représentatif de la plupart des chasseurs.

https://ours-des-pyrenees.pagesperso-orange.fr
18-10-2012 à 18:58:15
Bonjour, je suis nouveau sur ce forum,Ariègeois d'origine, chasseur, pêcheur, joueur de rugby et fonctionnaire de Police dans notre capitale Midi pyrénéenne, j'aimerais réagir à cette discussion. Je suis donc chasseur et je ne me sens pas plus homme de cro-magnon que d'autres qui se permettent des comparaisons douteuses à la limite de l'insulte. Ces méthodes laissant d'ailleurs les débats stériles je les laisseraient de côté.

Pour être constructif, l'ours (le vrai) pas le produit importé, aurait dû faire l'objet d'une sauvegarde il y a plus de cinquante ans. La population de souche était alors suffisante et l'élevage extensif plus prompt à coopérer. Plus de troupeaux mais plus réduits et bien gardés. Les plantigrades Slovènes, quoique, génétiquement identique n'ont rien à faire dans les Pyrénées, et lorsque l'on parle de réintroduction, on commet une faute, c'est une introduction. Toutes introductions dans un écosystème déjà en place engendre des problèmes (non ecosystème n'est pas approprié, ecocomplexe convient mieux car c'est l'ensemble qui est touché, activités humainess confondues).
La réintroduction, pardon, l'introduction de l'ours slovène, et pas pyrénéen, donne lieu à des tensions uniquement provoquées par le déséquilibre. Beaucoup persistent à stigmatiser chasseurs, éleveurs sans se soucier de trouver une proposition décente et équilibrée (notion de déséquilibre évoquée avant) pour que la présence de l'ours soit accéptée. Mesdames et Messieurs les écologistes, vous occupez vous de la gestion des milieux ? de l'entretien des espaces ? de la régulation (il faut bien en parler) de certaines espèces ? ou n'êtes vous bon qu'a faire de la sensiblerie ou vous porter partie civile dès que vous le pouvez pour engranger quelques euros sur le dos de chasseurs ou éleveurs solvables.......
L'arrêté de chasse systématiquement attaqué notamment sur les galliformes de montagnes, (si certains ne savent ce que veut dire galliforme je peux leur expliquer en privé) ou sont vos arguments scientifiques ? on emmerde les chasseurs de Palombes ......mais personne ne s'emeut des empoisements massifs dans les pays Nordiques, personne ( même pas la LPO) ne se rend compte que les oiseaux bleus deviennent de plus en plus sédentaires (grandes plaines céréalières d'Ile de France), que les couloirs de migration se sont déplacés etc........
Je me disperce......pour en revenir à l'ours et la compatibilité avec la chasse, je ne vois pas où est le problème. On ne chasse pas l'ours, ( je lis déjà les commentaires au sujet des accidents passés). Si l'on considère que l'ours peut être dérangé par la chasse, alors je pense que toutes les activités humaines en montagne sont perturbatrices, il n'y a pas que lorsque l'on porte une arme que la nature est persécutée. Si vous considérez que les chasseurs tuent uniquement par plaisir que dire de la mortalité des espèces animales uniquement provoquée par la présence humaine. Je prend l'exemple du plateau de beille mis en service en 1989. Les études préalables faisaient état du plus important site d'hivernage du grand tétras, 249 couples hivernants en 1985 ! à peine une trentaine en 1990 !!!!!!! Un tetras dérangé en hiver, a 80 % de chance de mourrir car il ne peut reconstituer sa dépense énergétique utilisée pour son envol. Alors franchement, un peu moins de 7000 chasseurs en Ariège, des centaines de millier de touristes hiver comme été; qui cause le plus de dégat à la faune et le milieu où elle évolue ? des stations de sport d'hiver uniquement misent en oeuvre " pour le plaisir", là on y est oui !!!!!!!! lLa solution ? une sanctuarisation de nos montagne, mais c'est utopique, chacun a droit de l'utiliser. Forcer les chaseur a respecter des contraintes, ok mais il faut quelles soit adaptées, le perimètre de 20000HA est exagéré en période hivernale, contraindre les agriculteurs a mieux surveiller leurs troupeaux ok, mais pourquoi les défenseurs de l'ours ne mettrais leur fougue à contribution pour surveiller leurs ours ? suivit des indices de présence, communication sur ses déplacements, information de l'ensemble des personnes pratiquant des activités en montagne hiver comme été. Si l'on prend uniquement en compte que l'homme est un danger pour l'ours, l'ours est aussi un danger potentiel pour l'homme. Je suis curieux de savoir ce qui pourrait être dit si par malheur un randonneur lambda se retrouvait blessé voir tué par un plantigrade ......... la faute des chasseurs, des éleveurs ?
18-10-2012 à 20:25:01
Salut à tous !

Il n'est bien évidement pas question de sanctuariser la montagne . Il s'agit juste d'observer quelques règles de bonne conduite et de respect mutuel . Comme dans tout environnement qu'il soit urbain , naturel ou autre .

A partir de là et en tant qu'adepte de la cohabitation et conscient que les chasseurs eux-mêmes ont participé à la première réintroduction dans les Pyrénées Centrales je dis que la chasse à sa place sur le massif . Je sous entend bien sûr que les chasseurs sont suffisamment responsables et conscients des enjeux de la sauvegarde de l'ours pour être capables de renoncer à une battue en présence d'une femelle suitée et, qu'ils sont assez respectueux et connaisseurs de leur environnement pour ne pas prendre des vessies pour des lanternes et donc capables d' identifier le gibier quelles que soient les circonstances , avant de tirer , pour ne pas confondre un ours avec un sanglier ... Ceci dit , un accidents étant toujours possible , la pratique de la chasse si on veut qu'elle soit avec un minimum de contrainte sur le territoire à ours doit obligatoirement impliquer que tout ours victime de l'homme soit systématiquement et sans discussion immédiatement remplacé par un autre congénère et ce jusqu'à ce que la population ursine soit viable ... A ce jour le remplacement des ours tués par l'homme n'est hélas pas encore acté malgré les promesses données par la ministre d'un précédent gouvernement .
Tant que cette dernière mesure ne sera pas inscrite dans la loi et mise en oeuvre de façon concrète les relations entre chasseurs et défenseurs de l'ours ne pourront être que tendues . L'ours est à ce jour trop rare pour pour qu'on puisse se permettre des exactions du type " Marquèze " ... Quand la population sera en bonne voie de pérennisation et que les ours accidentellement tués par l'homme seront remplacés , les équilibres se stabiliseront et les choses s'apaiseront . Aujourd'hui et avec la politique actuelle on ne peut pas accepter sans contre partie que la chasse puis faire courir le moindre risque à l'avenir encore fragile de l'ours dans les Pyrénées .

Quant aux risques encourus par l'homme et par les randonneurs , ce sont des risques ( et un chasseurs peut le comprendre ) que l'on prend à partir du moment où l'on accepte de mettre les pieds dans un milieu naturel préservé . Le mot nature étant défini par le sauvage , je ne vais pas apprendre ça à un chasseur, soit on accepte de se confronter aux aléas éventuels de la nature soit on reste chez soi à s'occuper du feu ou à peindre les murs de la grotte .... Il est plus normal d'accepter de prendre le risque de rencontrer un ours dans un milieu naturel que d'être obligé de prendre le risque en plein centre ville de se faire attaquer par un chien dangereux ... Ces chiens de combat font des morts chaque année et nous n'avons pourtant pas éliminé le chien de la civilisation ... Alors pourquoi condamnerait-on l'ours en cas d'accident éventuel quand, à chaque fois que nous mettons un pied devant l'autre en montagne nous acceptons en toute connaissance de cause de prendre des risques ? Le risque lié à l'ours est extrêmement minime par rapport à tous les aléas rencontrés dans un milieu naturel et je ne vais pas en faire la liste ici . Je rappellerai juste aux inquiets qu'en Cantabriques et Asturies il y a plus de 200 ours aujourd'hui , des loups , des lynx et tout un tourisme qui s'est développé autour de cette présence du sauvage sur un territoire d'excellence classé réserve de biosphère par l'UNESCO . . Cette présence des supers prédateurs n'exclut pas la chasse , malgré les accidents qui restent rares , ni l'agriculture , ni la randonnée , bien au contraire ! ....

Si les chasseurs acceptaient à nouveau de s'investir dans la protection de l'ours et soutenaient , comme en Slovénie , les efforts des associations pour pérenniser la présence du plantigrade et approuvaient les quelques réintroductions qu'il reste à mettre en route pour sauver définitivement le noyau central de la consanguinité , peut-être que les choses se passeraient beaucoup mieux !

La seule solution réside dans le compromis et l'acceptation d'une cohabitation mutuellement respectueuse .
18-10-2012 à 20:28:25
Salut Bac, et merci de ta participation.
vois-tu, je suis aussi chasseur...

Cela ne m'empêche pas de trouver les propos du président de la fédé ariègeoise anormaux.
Il y a aussi des propos anormaux de l'autre côté.

Je ferai juste une remarque pour ta distinction ours slovène et pyrénéen : c'est exactement la même espèce, cette distinction est scientifiquement grotesque.
La preuve : Cannelito.





https://ours-des-pyrenees.pagesperso-orange.fr
18-10-2012 à 20:34:39
Ah oui, j'ai oublié de te préciser ce que je trouve anormal : que le président dise refuser toute contrainte.

Quand je chasse, il y a plein de contraintes (jours, réserves, nombre de pièces...), qui changent aux cours des années et je trouve cela normal.

A+



https://ours-des-pyrenees.pagesperso-orange.fr
18-10-2012 à 21:16:55
Je porte à votre connaissance ce témoignage recueilli par la Buvette des Alpages sur Sanglier.net .... On voit une fois de plus qu'il y a chasseur et chasseur ... Ce qui est sûr c'est que le monde de la chasse ferait bien de faire le ménage dans ses propres rangs pour redorer son blason et échapper à la caricature qui lui colle à la peau .

http://www.buvettedesalpages.be/2012/10/la-battue-de-la-peur.html
18-10-2012 à 21:38:42
Je dis bien dans ma participation que les deux ours sont génétiquement identiques, ce que je voulais dire c'est que les distances qui les séparent et par conséquence les milieux, les moeurs sont différents. Pour prendre un exemple simple, notre bel isard est à la base un animal de steppe, dans l'évolution des territoires de répartition des noyaux se sont formés un peu partout, l'évolution faisant le reste il est apparut le chamois dans les alpes, le chamois des abruzzes (pelage identique à l'isard mais morphologie plus proche du chamois), l'isard des cantabriques, j'en oublis peut être, les cours sont loins. Bref, issu d'une même espèce, les groupes évoluent differement (morphologie, apparence, moeurs) mais restent compatibles entre eux. De même, je ne dis pas être contre l'ours mais contre la méthode de frapper toujours les mêmes. On ne doit pas mettre la pression sur une minorité uniquement pour caché la triste réalité. Je suis déçu de voir que ma participation n'est engendrée des réactions uniquement sur un détail ou "encore" sur la chasse, j'ai l'impression, qu'encore une fois, les problèmes bien plus préoccupants sont occultés. On me colle un lien dont je n'ai que faire car je ne me sens pas concerné, mais cette personne a t'elle réellement lu mon post, a t'elle des réponse a me donner concernant le rôle des associations écologistes, leurs actions, leurs compétences à donner des leçons de vie.
18-10-2012 à 21:49:02

Bonsoir BAC31,

ce qui me gène dans votre écrit, ce n'est pas que vous soyez chasseur, je ne me suis jamais opposé à une chasse raisonnée, mais c'est qu'à la lecture de vos propos, qui ne sont effectivement pas agressifs, au final rien n'est possible.
L'ours sous prétexte qu'il vient de SLOVENIE, la souche la plus proche de la souche des Pyrénées, est inadapté. Mais pourquoi ?
L'élevage extensif rend le territoire inadapté, mais pourquoi, l'élevage survit de subventions et n'est pas viable sans, l'ours Slovène lui se reproduit tranquillement.
Pour la chasse, enfin, accordez nous que les droits des chasseurs n'ont fait que de croître récemment, alors subir quelques contraintes pour la préservation d'une espèce protégé, ça me semble être une partie de la définition de ce qu'est un bon chasseur.

Cordialement
18-10-2012 à 23:56:02
Il faut noter par ailleurs que l'ours slovène a repris exactement les mêmes comportements , les mêmes habitats et les mêmes attitudes que l'ours dit de souche pyrénéenne et que son développement est parfaitement adapté au territoire pyrénéen . Rappelons que la topologie du territoire à ours Slovène est assez semblable au piémont et à la moyenne montagne pyrénéenne .

Quant aux Associations de défense de l'ours elles sont parfaitement légitimes à donner leur opinion environnementale , elles ont en leur sein des naturalistes , des biologistes et des experts en la matière . L'ONCFS n'est pas loin non plus pour donner son avis qui pour l'ours va dans le même sens que les Associations . L' ADET est à l'origine du label du Pays de l'ours ( voir le détail sur ce site ) , Le FIEP en Béarn a créé le label de cohabitation PéDescaous , et Férus s'investit directement et concrètement ( entre autres ) sur le terrain en portant à travers les bénévoles une aide directe au pastoralisme de montagne . On ne peut pas dire que ces Associations ne font rien pour la cohabitation !

C'est simple d'un côté il y a des Associations qui plaident pour la cohabitation et de l'autre des Associations pastorales radicales qui plaident pour l'éradication de l'ours , emblème des Pyrénées, et qui prônent une biodiversité à visage humain dont le plantigrade est absent . Quand on sait que cet ours en tant que super prédateur est légitimement à l'étage supérieur de ce que le biologiste naturaliste Claude Dendaletche appelle " la pyramide écologique du cycle de la matière et de l'énergie en montagne " où se créent les échanges essentiels aux équilibres vitaux entre la faune , la flore , l'eau , l'air, le CO2, l'énergie solaire, le sol, les substances minérales, les bioréducteurs , la matière organique etc... On comprend qu'amputer le sommet de cette pyramide devient un non sens total, une aberration , une atteinte à la biodiversité et une altération majeure de l'identité originelle du milieu naturel . Tuer l'ours, espèce parapluie, est une absurdité contraire aux intérêts de la Nature et à ses lois .

La chasse a sans doute son utilité prédatrice, surtout quand elle fait dans la modération , mais n'a certainement pas l'exclusivité de la protection environnementale . Laissons le plus possible à la nature le soin de gérer les équilibres de ses écosystèmes . L'homme est trop souvent un élément perturbateur . Par contre il faut bien réparer les dégâts dont cet homme par ses excès est à l'origine en même temps que la perte de biodiversité en procédant à des réintroductions . Ce que sait parfaitement faire la chasse elle-même avec les animaux qu'elle gère .

Quant aux Associations purement écologistes , que font-elles, où sont-elles ?... Sur quelle scène ? ...
Ne pas oublier en parlant de chasse et d'écologie qu'Aldo Leopold un des pères fondateurs de l'éthique écologiste était un chasseur ...

Et quant à L' EELV de José Bové ?... Actuellement mon sentiment est le même que celui de Fabrice Nicolino :

" j’attends les commentaires de tous les foutriquets écologistes enrubannés et décorés présents à la Conférence environnementale du mois dernier. Le mois dernier. Elle est bien belle, la transition écologique de cet excellent monsieur Hollande. "

" Foutriquets " , est le mot parfait !... Il n'y en a pas un pour sauver l'autre ! ... Alors l'ours ! ...

Tout le monde est invité à en débattre ! C'est le début de la cohabitation !
18-10-2012 à 23:58:31
Salut Bac
1°)Je suis d'accord avec toi, le lien était superflu (désolé chris, pour une fois je ne suis pas d'accord avec toi).
2°)Les terrains slovènes et pyrénéens sont très ressemblant, et le mode de vie des ours aussi. Ils n'ont donc eu aucun problème pour s'y adapter. Cet argument ne tient pas.
3°)Les chasseurs utilisent aussi souvent la méthode des lâchers pour repeupler des territoires (pense au faisan originaire d'asie).
4°)Je crois que le problème, c'est que les deux mondes ne se connaissent pas, et moi qui suis à la fois chasseur et pro ours, je peux pourtant te dire que les valeurs sont les mêmes (la 1° étant l'amour de la nature). Il faudrait organiser des journées d'échange !
5°)Là où tu as raison, c'est quand tu dis que les mesures (autour des tanières) ne concernent que la chasse. Ce n'est pas normal. Mis bon, c'est comme plein de mesure en France, c'est du bidon, personne ne connait les tanières des ours en hiver. Et si par exemple un garde en découvre une, il la tiendra secrète. Donc ces mesures sont bidons.

Bonne nuit !

https://ours-des-pyrenees.pagesperso-orange.fr
19-10-2012 à 01:45:46
Vous écrivez :
Pour moi le plus intolérable n'est pas qu'il y est des cons dans la nature, mais qu'ils puissent avoir quand bon leur semble une pleine page dans la presse sans contradicteurs en face.

Vous vouliez parler des écolos ? Alors je suis d'accord !


Soyez pas de mauvaise foi. Où sont ces vilains dans la presse locale par exemple (la Dépêche du midi par exemple)? Il n'ont quasi JAMAIS de mot à dire, on entend toujours les mêmes sons de cloche, ces pseudo agriculteurs toujours prompts à mettre TOUT sur le dos de l'ours. On le voit encore dans les pyrénées occidentales où même quasi disparu on lui impute touours 36 000 prédations sur fond de titre tapageurs.

Quand à dire que les ours slovènes génèrent des déséquilibres la personne qui affirme ça de manière péromptoire devrait citer des sources concrètes et pas de propos au jugé comme ça. Scientifiquement il n'est constaté aucun soucis du moment qu'on leur fiche la paix. Ils sont quasi identique génétiquement et l'ours n'a jamais totalement disparu de ces montagnes, en parler comme d'une expèce exogène ne tient pas debout.
Quand à parler une ENIEME fois de gentils promeneur tués par un ours, sur QUEL CHIFFRES vous basez vous? Quelle donnée?
Moi j'en ai une: zéro cas en plus de 100 ans. Par contre des cas de blessés par des cerf ou des sangliers, la on ne dit rien.

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